
Ed Pien
Medusa, 2012
Encre sur matériau réfléchissant 3M et papier shoji découpés / Ink on cut 3M reflector film laminated on Shoji paper
106 x 144 1/8 "
269.2 x 365.8 cm
269.2 x 365.8 cm
© Ed Pien
'In 2004, during a research trip to China, a small paper-cut caught my attention. It was a crudely rendered symmetrical depiction of a head suspended in the top centre of...
"In 2004, during a research trip to China, a small paper-cut caught my attention. It was a crudely rendered symmetrical depiction of a head suspended in the top centre of a tree, with two figures facing the trunk below. It was childlike, yet mysteriously powerful, and I imagined it alluding to magic or some long-forgotten rites. It also
reminded me of an engraving made by French artist Jacques Callot called “La Pendaison” or “The Hanging” (from “Les misères et les malheurs de la guerre,” 1633), which depicts a disquieting scene where a multitude of bodies hang dead or dying from a giant tree. Medusa continues my exploration on paper-cutting. This particular work has been inspired by Nancy Spero’s Maypole: Take No Prisoners, 2007 installation that I saw during the 52nd Venice Biennale. The expressive branches suggests the snaked hair of Medusa and her sense of unrest: as a young woman, she was violated and then turned into a monster that also met a fateful end.
The coloured forms celebrate resilience and offer glimmer of hope in troubled times.' - Ed Pien (courriel 14/10/2020)
___
En 2004, lors d'un voyage de recherche en Chine, un petit découpage de papier a attiré mon attention. Il s'agissait d'une représentation symétrique grossièrement rendue d'une tête suspendue au centre de la cime d'un arbre, avec deux figures faisant face au tronc en dessous. C'était une représentation enfantine, mais mystérieuse puissant, et je l'ai imaginé en faisant allusion à la magie ou à certains rites oubliés depuis longtemps. Il a également m'a rappelé une gravure réalisée par l'artiste français Jacques Callot intitulée "La Pendaison" ou "La Pendaison" (extrait de "Les misères et les malheurs de la guerre") 1633), qui dépeint une scène inquiétante où une multitude de corps sont pendus ou qui meurent d'un arbre géant. Medusa" poursuit mon exploration sur le découpage du papier. Ce travail particulier a été inspiré par le Maypole de Nancy Spero : Take No Prisoners, installation de 2007 que j'ai vue pendant la 52e Biennale de Venise. Les branches expressives suggèrent les cheveux serpentins de Méduse et son sentiment d'agitation : jeune femme violée, elle a ensuite été transformée en un monstre qui a également connu une fin tragique. Les formes colorées célèbrent la résilience et offrent une lueur d'espoir en des temps troublés.
reminded me of an engraving made by French artist Jacques Callot called “La Pendaison” or “The Hanging” (from “Les misères et les malheurs de la guerre,” 1633), which depicts a disquieting scene where a multitude of bodies hang dead or dying from a giant tree. Medusa continues my exploration on paper-cutting. This particular work has been inspired by Nancy Spero’s Maypole: Take No Prisoners, 2007 installation that I saw during the 52nd Venice Biennale. The expressive branches suggests the snaked hair of Medusa and her sense of unrest: as a young woman, she was violated and then turned into a monster that also met a fateful end.
The coloured forms celebrate resilience and offer glimmer of hope in troubled times.' - Ed Pien (courriel 14/10/2020)
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En 2004, lors d'un voyage de recherche en Chine, un petit découpage de papier a attiré mon attention. Il s'agissait d'une représentation symétrique grossièrement rendue d'une tête suspendue au centre de la cime d'un arbre, avec deux figures faisant face au tronc en dessous. C'était une représentation enfantine, mais mystérieuse puissant, et je l'ai imaginé en faisant allusion à la magie ou à certains rites oubliés depuis longtemps. Il a également m'a rappelé une gravure réalisée par l'artiste français Jacques Callot intitulée "La Pendaison" ou "La Pendaison" (extrait de "Les misères et les malheurs de la guerre") 1633), qui dépeint une scène inquiétante où une multitude de corps sont pendus ou qui meurent d'un arbre géant. Medusa" poursuit mon exploration sur le découpage du papier. Ce travail particulier a été inspiré par le Maypole de Nancy Spero : Take No Prisoners, installation de 2007 que j'ai vue pendant la 52e Biennale de Venise. Les branches expressives suggèrent les cheveux serpentins de Méduse et son sentiment d'agitation : jeune femme violée, elle a ensuite été transformée en un monstre qui a également connu une fin tragique. Les formes colorées célèbrent la résilience et offrent une lueur d'espoir en des temps troublés.