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Luc Courchesne
"Sublimation: Ciel-terre", 2018
Métal et disques d'acrylique / Metal and acrylic disks
Ed. 7
Series: Horizon (Fragments)
© Luc Courchesne
$ 12,500.00
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Installation perceptuelle pour jardin. L’oeuvre est composée d'un certain nombre de modules (trois tiges sur une base triangulaire) qui forment un nuage dense à hauteur d’yeux. L’idée de briser la...
Installation perceptuelle pour jardin. L’oeuvre est composée d'un certain nombre de modules (trois tiges sur une base triangulaire) qui forment un nuage dense à hauteur d’yeux.
L’idée de briser la ligne d’horizon en y insérant des morceaux de ciel et de terre vient de ma fascination pour les couches de réalité qui se superposent. J’ai toujours remarqué et apprécié ces réflexions dans les vitrines, qui juxtaposent tout-à-coup des images proches et lointaines pour reconstruire un paysage éphémère. J’ai d’abord utilisé les réflexions pour superposer les écrans d’un ordinateur et d’un moniteur vidéo pour mes personnages virtuels interactifs depuis Portrait no. 1 (1990), puis pour créer une expérience immersive à 360° avec la première version du Panoscope en 2001 (The Visitor). Avec Sublimation : masculin-féminin (2014) J’ai vulu déconstruire l’opposition des genres et exposer l’ambiguité. Il en est de même avec Sublimation ciel-terre qui ouvre l’horizon linéaire et révèle une réalité qui va bien au-delà de ce qui est donné à voir dans l’espace immédiat. Pensée à l’échelle d’un jardin, l’installation se compose d’un certain nombre de ces modules qui composent un nuage de réflexions à la hauteur des yeux. Ils sont l’équivalent du saut de loup (ha-ha) dans les jardins anglais du 18e siècle.
Luc Courchesne presents his research on space, time, and point of view. They are fragments of horizons that separate Earth and sky, that touch surfaces or open gaps in walls, bringing into play our observational tendencies and the complex relationships that define being "in this world". Courchesne found his inspiration for this exhibition in the work of Horace Bénédict De Saussure on the landscape, The Vitruvian Man by Léonard de Vinci, and Mertzbau by Kurt Schwitter by reconceiving them through contemporary techniques of spatialization. “The idea of breaking the horizon line by inserting pieces of sky and earth comes from my fascination with the layers of reality that overlap. Heaven-earth sublimation that opens up the linear horizon and reveals a reality that goes far beyond what can be seen in immediate space. They are the equivalent of the wolf leap in 18th century English gardens.” -Luc Courchesne
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L’idée de briser la ligne d’horizon en y insérant des morceaux de ciel et de terre vient de ma fascination pour les couches de réalité qui se superposent. J’ai toujours remarqué et apprécié ces réflexions dans les vitrines, qui juxtaposent tout-à-coup des images proches et lointaines pour reconstruire un paysage éphémère. J’ai d’abord utilisé les réflexions pour superposer les écrans d’un ordinateur et d’un moniteur vidéo pour mes personnages virtuels interactifs depuis Portrait no. 1 (1990), puis pour créer une expérience immersive à 360° avec la première version du Panoscope en 2001 (The Visitor). Avec Sublimation : masculin-féminin (2014) J’ai vulu déconstruire l’opposition des genres et exposer l’ambiguité. Il en est de même avec Sublimation ciel-terre qui ouvre l’horizon linéaire et révèle une réalité qui va bien au-delà de ce qui est donné à voir dans l’espace immédiat. Pensée à l’échelle d’un jardin, l’installation se compose d’un certain nombre de ces modules qui composent un nuage de réflexions à la hauteur des yeux. Ils sont l’équivalent du saut de loup (ha-ha) dans les jardins anglais du 18e siècle.
Luc Courchesne presents his research on space, time, and point of view. They are fragments of horizons that separate Earth and sky, that touch surfaces or open gaps in walls, bringing into play our observational tendencies and the complex relationships that define being "in this world". Courchesne found his inspiration for this exhibition in the work of Horace Bénédict De Saussure on the landscape, The Vitruvian Man by Léonard de Vinci, and Mertzbau by Kurt Schwitter by reconceiving them through contemporary techniques of spatialization. “The idea of breaking the horizon line by inserting pieces of sky and earth comes from my fascination with the layers of reality that overlap. Heaven-earth sublimation that opens up the linear horizon and reveals a reality that goes far beyond what can be seen in immediate space. They are the equivalent of the wolf leap in 18th century English gardens.” -Luc Courchesne
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